• Le monde arabe est en phase d’effondrement total

    Le discours de Mitt Romney à Jérusalem, et les déclarations à la presse qui l’ont accompagné n’en finissent décidément pas de faire des vagues. Mitt Romney a parlé du fait que le développement économique et la liberté qui règnent en Israël étaient dues à la culture, et que les handicaps qui marquent le monde musulman et qui touchent les « Palestiniens » auraient aussi une dimension culturelle. Des accusations de racisme ont aussitôt commencé à fuser.

    Les gens qui profèrent ces accusations sont-ils si idiots qu’ils confondent race et culture ? Pensent-ils vraiment qu’un Africain noir né chrétien et qui se convertit à l’islam change de race, ou qu’un Suédois blond devenu musulman va soudain devenir un Arabe du Proche-Orient ?  Je ne peux imaginer que ces gens sont des idiots, je les pense plutôt pervers et imprégnés de haine envers la réussite. Et je les considère animés d’une aversion envers ce qui peut permettre au genre humain de s’émanciper et de s’accomplir.

    L’une des notions économiques essentielles développées ces dernières années par des économistes qui vont de David Landes, auteur de « La richesse et la pauvreté des nations », un livre fondamental, à Thomas Sowell auteur de Migrations and Cultures, Race and Cultures, et Conquests and Cultures, de Lawrence Harrison, auteur de Underdevelopment Is A State of Mind à Samuel Huntington, auteur avec Harrison de Culture Matters, est celle de « capital culturel ». J’ai moi-même introduit et exposé l’importance de cette notion dans La Septième dimension.

    Ignorer cette notion est ne rien comprendre au monde contemporain et, dans un contexte de guerre, de famines et de fanatisme, il est criminel de ne rien comprendre au monde contemporain.

    Oui, certaines cultures sont plus propices que d’autres au développement économique et à la liberté sous toutes ses formes, et, n’en déplaise aux relativistes, la culture juive est une culture particulièrement propice.

    La culture du christianisme protestant est plus propice au développement économique et à la liberté que la culture du christianisme catholique, et lorsque des substrats culturels viennent s’ajouter, tels le caudillisme en Amérique latine, les handicaps peuvent devenir écrasants.

    Oui, les cultures marquées par le confucianisme peuvent susciter le développement économique, mais se trouver confrontées à des obstacles lorsqu’il s’agit de liberté, et cela explique les difficultés de sociétés asiatiques à passer à un fonctionnement post-industriel et post-asiatique.

    Et oui, hélas, le monde musulman, et en lui tout particulièrement le monde arabe, sont dans une situation de blocage culturel qui ne cesse de s’aggraver et prennent des allures cataclysmiques.

    Le monde arabe est aujourd’hui dans une phase d’effondrement économique qui s’accompagne d’un effondrement de ses structures politiques et d’une destruction de ses repères culturels. Il ne reste au milieu des décombres qu’une infime minorité de gens ouverts à l’esprit de civilisation et aux sociétés ouvertes, et une immense déferlante islamiste où se mêlent dans le ressentiment, le sectarisme et le tribalisme des gens désireux de revenir à une lecture littéraliste du Coran, des radicaux mélangeant Coran et texte de Marx, Lénine ou Franz Fanon, d’autres qui relisent leurs textes sacrés à la lumière noire de Hitler.

    Cet effondrement ne fait que commencer. Il va se poursuivre. La situation qui prévaut en Syrie n’en est qu’un fragment. D’autres fragments sont visibles en Libye, dans le Nord du Mali, au Nigeria où agissent les Boko Haram, En Somalie, au Soudan, au Yemen.

    Il est criminel de ne pas le comprendre. C’est suicidaire aussi.

    La Russie et la Chine essaient cyniquement de voir quels avantages elles peuvent tirer de l’effondrement et en quoi il peut leur permettre de parasiter le monde occidental.

    Les dirigeants européens s’essaient à rafistoler une zone euro et une Union Européenne qui sont elles-mêmes au bord de l’effondrement, et font semblant de croire encore aux « promesses du printemps arabe ». Manuel Valls, qui sortait sans doute d’un hôpital où il venait de subir une lobotomie, a parlé le 6 juillet en inaugurant de manière très laïque une mosquée à Cergy Pontoise de l’islam contemporain comme de l’hériter de celui de Cordoue où foisonnait la connaissance.

    Les dirigeants européens entendent aussi flatter les « Palestiniens » : s’ils ouvraient les yeux (c’est impossible, je sais), et s’ils actionnaient leurs neurones (ce qui est plus impossible encore, je ne l’ignore pas), ils discerneraient que le « mouvement palestinien » est en train de mourir et ne survit que grâce aux injections financières européennes et, pour partie, américaines. Ils discerneraient que le « mouvement palestinien » s’est développé dans les années mille neuf cent soixante quand le nationalisme arabe était soutenu par l’Union Soviétique. L’Union Soviétique n’existe plus. Le nationalisme arabe agonise dans les décombres de Damas.

    Les membres de l’administration Obama font preuve d’autant de stupidité que les dirigeants européens. C’est pour cela qu’on les aime bien en Europe.

    C’est ainsi en tout cas : les dirigeants de l’Autorité Palestinienne ne représentent plus rien que leur propre imposture et le rôle que les Européens et l’administration Obama veulent bien leur accorder par pur crétinisme.

    Le Hamas régit la bande de Gaza qui va peu à peu se fondre dans l’Egypte islamiste et délabrée. Et le Hamas est prêt à s’emparer de l’Autorité Palestinienne. Or, le Hamas n’en a que faire d’un « Etat palestinien » : il rêve de califat. Il raisonne en termes de dar el islam et de dar el harb. Il n’en a rien à faire de la Judée-Samarie que ses larbins appellent Cisjordanie. Il fait partie intégrante de la déferlante islamiste présente.

    Au terme de la tempête qui prend forme, le monde musulman sera en ruines, décomposé, chaotique. Une recomposition s’enclenchera peut-être. Il n’y aura pas de place dans cette reconstruction pour l’Autorité Palestinienne. Il n’y en aura pas pour le nationalisme arabe.

    Il y aura une place pour Israël, le seul pays qui a les moyens de surnager au milieu de ce grand océan de tourbe.

    Je ne sais s’il y aura une place pour l’Europe. Je dois dire que j’en doute.

    Je veux espérer qu’il y aura une place pour les Etats-Unis. Ce sera l’un des enjeux de l’élection de novembre prochain. Dois-je dire que j’espère très vivement que Mitt Romney sera élu. Les Etats-Unis ont besoin d’un Président à la Maison Blanche. Et si ce Président comprend non seulement les vertus du libre marché, mais aussi l’importance du capital culturel, c’est un atout supplémentaire.

    © Guy Millière pour www.Dreuz.info


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  • Nous avons eu… 67 ans de répit.

    L'Allemagne de Herr Sieg Heil a capitulé le 7 mai 1945, et, depuis cette date, on nous laissait à peu près tranquille, sans pour autant s'empêcher de diaboliser le seul Etat que nous ayons sur terre.

    Maintenant, cette diabolisation ne suffit plus.

    Dans sa droite ligne – pourquoi s'arrêter en si bon chemin? – ce sont maintenant nos rabbins qui sont dans le collimateur.

    Cela vient de sortir – de ressortir, plutôt. Et cela vient d'Allemagne, mais c'est repris dans bien d'autres pays, y compris en France.

    Et cela vient après un débat de bas étage sur l'abattage dit rituel des animaux: sous couleur de la défense de ces pauvres bêtes, il y a eu une attaque en règles contre des pratiques dites d'un autre âge. Ainsi, enfoncer un clou dans la tête de l'animal serait nécessairement moins douloureux et plus confortable pour elles que d'avoir le cou tranché par un couteau parfaitement aiguisé.

    Cela n'est pas prouvé du tout, un certain nombre d'études sérieuses ont montré le contraire. Et cela ne résoud pas le problème du transport des animaux dans des bétaillères où ils se cassent souvent une patte – j'avais vu il y a quelques années un reportage sur TF1 qui montrait même un certain sadisme de la part de certains convoyeurs.

    Or, ces animaux ayant soufferts seraient de ce fait impropres à la consommation, selon les lois de la casherout, car ayant souffert.

    Mais, comme la religion est forcément de l'obscurantisme, il s'ensuit que l'abbatage dit rituel est nécessairement le plus barbare. Bon sang, mais c'est bien sûr!

    Aujourd'hui, c'est un pas de plus qui vient d'être franchi, avec un arrêt d'une cour allemande qui interdit désormais la circoncision…

    En France, les chiens sont lâchés.

    Christine Tasin nous explique que la circoncision est un acte barbare.

    Toujours dans Riposte Laïque, Roger Heurtebise signale que nos rabbins devraient être poursuivis pour avoir commis des actes de torture et de barbarie.

    Très habilement, il ne le dit pas ainsi, mais il cite des articles de lois de telle manière que cela sera bien évidemment compris de cette façon.

    On pourrait voir dans les articles de ces deux tristes personnages le délire d'allumés du bulbe.

    Pour ce qui me concerne, j'accuse ces deux individus de semer la haine et de prôner tout simplement un nettoyage ethnique.

    Parce que, si leurs avis étaient suivis, les juifs de France n'auraient, demain, que le choix entre renoncer à deux de leurs prescriptions les plus fondamentales, constitutives de leur être, ou bien partir vers d'autres cieux.

    Le premier terme de l'alternative signifie qu'en une à trois générations, leurs descendants ne seront plus juifs. C'est donc de l'épuration ethnique par le biais culturel.

    Le second terme de l'alternative signifie qu'alors, la France sera devenue "judenrein", "pure" de tout juif. C'est là encore de l'épuration ethnique.

    Indépendamment de cela et en prime, il s'agit-là d'une stigmatisation et d'un appel à la haine, dans la mesure où ces personnes disent de façon très claire que, pour elles, nos rabbins sont des gens barbares qui commettent des actes de torture sur des nourissons.

    Nous ne sommes pas loin des accusations médiévales les plus délirantes et les plus abjectes.

    S'étonnera-t-on ensuite des violences à venir contre les juifs et leurs biens?

    Aujourd'hui, je suis en colère… Et je dis à mes sœurs et frères restés dans cette Europe sur laquelle tombe les ténèbres "N'attendez pas la catastrophe! Faites vos baggages et cassez-vous de là! Il est grand temps."


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  • Les questions d'Israël-flash

    Après avoir dénoncé le comportement des non-Juifs, puis celui de certains Juifs ultra-orthodoxes (Neturei Karta et Satmar), c’est maintenant celui de ceux qu’on appelle les post-sionistes que je veux décrier.

     

    Les 2 premières parties

    Antisionisme = Antisémitisme ?

    Antisionisme = Antisémitisme ? suite…

    Mon sujet d’indignation ? L’antisionisme, pardi ! (3ème partie)

    Par Dora Marrache

    « Quand je cesserai de m’indigner, j’aurai commencé ma vieillesse » (Gide)

    Et comme je ne veux pas vieillir, j’ai choisi un sujet d’indignation inépuisable : le traitement qu’on réserve à Israël, un traitement d’une injustice inqualifiable que je dénoncerai tant et aussi longtemps que je vivrai, que les auteurs en soient Juifs ou non-juifs, qu’ils appartiennent à Monsieur Tout-le monde ou qu’ils soient des personnalités du monde des arts, de la politique, etc. En matière d’antisionisme, il ne faut ménager personne car l’antisionisme, donc l’antisémitisme, ne peut s’expliquer rationnellement.

    Après avoir dénoncé le comportement des non-Juifs, puis celui de certains Juifs ultra-orthodoxes (Neturei Karta et Satmar), c’est maintenant celui de ceux qu’on appelle les post-sionistes que je veux décrier.

    Le post-sionisme? Que sa quo? C’est un bel euphémisme qui laisse entendre que le sionisme est révolu, qu’il a fait place à un autre type de sionisme, alors qu’il s’agit tout simplement de l’antisionisme juif. Si les néo-sionistes mettent l’accent sur le particularisme de l’État juif, s’ils rêvent du grand Israël et ne croient pas en la paix, les post-sionistes eux se disent universalistes et veulent partager  Israël avec les Palestiniens, autrement dit faire de l’État juif un État arabe. Des antisionistes sur la terre de Sion ! N’y a-t-il pas là quelque chose de paradoxal ?

    Quand Israël fut créé, tous les Juifs,  qu’ils fussent croyants ou athées, s’unirent et étaient solidaires pour construire ce pays où les Juifs seraient enfin à l’abri des persécutions. Mais aussitôt qu’il fut créé, les Juifs furent menacés d’un nouveau génocide,or chestré cette fois par les États arabes qui projetaient – et qui projettent toujours-  de jeter tous les Juifs à la mer.

    Et ils l’auraient fait s’ils avaient pu le faire,  et ce sans même que les puissances occidentales tentent de les en empêcher ni même ne s’en émeuvent. Mais toutes les guerres se sont soldées par des échecs et, tout juste vingt ans après sa création,  l’État juif a vu sa superficie tripler.

    Au lendemain de la Guerre des Six jours, le monde découvre, stupéfait, un Juif nouveau, l’antithèse du Juif de la diaspora. Du statut de victime, le voici maintenant au rang de vainqueur. Si jusque là  il inspirait sinon la sympathie, du moins l’empathie, car on le croyait promis à une mort certaine, sa victoire inattendue suscite haine et colère parce qu’on ne peut concevoir le Juif qui dit NON à ceux qui veulent son extermination.

    Et presque simultanément on assiste à  la naissance d’un peuple qui n’existait pas, qu’on baptisera « le peuple palestinien »,  et sur le sort duquel la planète entière va s’attendrir.

    Mais cet amour inattendu des Arabes qui s’étaient enfuis en 48 et vivaient désormais dans des camps, passe nécessairement par la haine d’Israël, donc des Juifs. Et comme depuis la Deuxième Guerre mondiale  l’antisémitisme est considéré comme un délit, on aura recours à un autre terme pour le désigner : l’antisionisme.

    Désormais, sous ce vocable, il devient possible d’exprimer son antisémitisme sans encourir le moindre risque. Mieux : non seulement on peut désormais exprimer sa haine du juif ouvertement, mais qui plus est on est considéré comme progressiste, intelligent, etc.

    L’antisionisme, ce mouvement qui nie au peuple juif son droit d’avoir un État, a pris naissance évidemment dans les pays arabes, puis il a gagné certaines universités américaines avant de se propager partout en Occident.

    Et c’est ainsi que l’État juif a remplacé le Juif dans le rôle de bouc émissaire des nations, On l’accuse désormais de tous les maux et on le présente comme un danger pour la paix mondiale. Et tout doucement, de façon presque imperceptible, Israël devient le centre du monde, l’État qu’on ne tardera pas à considérer comme « l’État DE TROP ». Et pour le délégitimer, on le qualifiera d’État d’apartheid, on l’accusera de pratiquer le colonialisme et le  racisme, et on assimilera les Juifs israéliens aux nazis.

    Mais si le responsable est Israël, alors comment expliquer qu’autrefois, quand l’État juif n’existait pas,  on pourchassait les Juifs ? En réalité, on a juste fait un déplacement : la haine du Juif existe toujours et,  comme les juifs s’identifient à Israël, on reporte cette haine sur leur pays. La haine du Juif entraîne la haine d’Israël, et non l’inverse.

    Quant aux Palestiniens, ils n’intéressent le reste du monde que dans la mesure où ils se posent en ennemis du peuple juif, d’autres diront en victimes.

    Face à cette montée du pro-palestinisme,  ou de l’antisionisme puisque l’un est le corollaire de l’autre, surgit un autre Juif, différent des Pères fondateurs, un Juif qui ressemble à s’y méprendre au Juif honteux d’Avant-Guerre, à une différence près : il arbore fièrement sa double identité juive et israélienne, même s’il prétend avoir honte de la seconde : « J’ai honte d’être israélien » clamait Gideon Lévy. Il sait qu’il fait honte à son pays, mais mieux vaut pour son ego dire que c’est lui qui en a honte. Le post-sioniste est un être ambivalent chez qui au refus de soi, à la haine de son identité  se mêle la fierté d’être juif.

    Et quand ce Juif voit l’hostilité à l’égard de son pays grandir et s’étendre  à tous les campus, il ne veut pas que les universités israéliennes soient en reste. Il a gardé du Juif honteux ce besoin de s’assimiler aux autres, de penser comme eux. Et l’université israélienne deviendra ainsi le bastion de l’antisionisme israélien, qu’on appellera au début des années 90 le post-sionisme

    Qui sont ces Juifs dissidents ? Ils s’appellent Benny Morris,  Shlomo Sand, Gilad Atzmon, Michel Warschawski, Uri Avnery, Gilad Atzmon, …

    Ils font partie, hélas,  de l’intelligentsia et sont issus de la gauche qui ne diffère de celle des autres pays que par un antisionisme porté à son paroxysme. Beaucoup parmi eux connaissent un certain succès, voire la gloire, que ce soit en Occident ou au Moyen-Orient. Ils sont encensés par la presse, et tous les antisémites de la terre exultent en écoutant leurs discours. Reconnus, portés aux nues par tous les détracteurs d’Israël, ils sont en réalité les « idiots utiles » des Palestiniens et de tous les antisionistes. Ils sont à leur solde et, avec eux, ils travaillent à la délégitimation de l’État juif.

    En fait, les post-sionistes  sont ceux à qui le sionisme, ce mouvement de libération du peuple juif, n’a pas profité. La liberté leur est d’un poids trop lourd à porter, ils lui préfèrent la condition d’esclaves.

    À les lire et à les entendre, il semblerait qu’ils soient les seuls vrais Juifs : universalistes, humains, solidaires, défenseurs des libertés individuelles…

    - Solidaires  On le sait, si les gauchistes ne se soutiennent pas, qui donc les soutiendra ? La gauche israélienne doit donc allégeance à la gauche européenne. Ainsi, parmi les Israéliens, il s’en est trouvé pour prendre la défense de Günther Grass, entre autres Gidéon Lévy qui prétend que le Nobel allemand, militant de gauche profondément anti-israélien,  est victime de calomnies de la part des Juifs,  que ses déclarations sont justifiées, qu’il n’y a rien à craindre de l’Iran, que « Sa position contre l’énergie nucléaire israélienne est également légitime. Il peut également s’opposer à la fourniture des sous-marins à Israël ». Et quand Grass écrit : «Pourquoi ne dis-je que maintenant (…) que la puissance atomique d’Israël menace la paix mondiale déjà fragile ?», «Parce qu’il faut dire ce qui pourrait être trop tard demain», Gideon Lévy l’approuve !

    Certes, les post-sionistes sont solidaires des Palestiniens, mais là s’arrête leur sens de la solidarité. En revanche, les Palestiniens ne sont guère solidaires de ces antisionistes parce que ce sont des Juifs.

    - universalistes, ils rejettent ce qu’ils considèrent comme le particularisme juif,  par conséquent la notion de peuple élu.

    Ils disent défendre des valeurs universelles – comme si les valeurs juives ne le sont pas !- et être solidaires de la souffrance des hommes. Il fut un temps aussi où des Juifs italiens, au nom de l’universalisme, arboraient l’insigne du parti fasciste.

    Étrange conception de l’universalisme qui consiste à s’apitoyer sur le sort des ennemis du peuple juif, et à rester totalement insensibles au sort de ce peuple martyr dont ils sont issus et dont l’histoire est jalonnée de persécutions et qui,  privé de sa terre,  a été condamné à l’errance pendant deux mille ans !  N’est-il pas plus étrange encore que l’empathie de ces « humanitaires » pour le « peuple palestinien » ne puisse se traduire que d’une seule façon : la diabolisation d’Israël et la négation des souffrances des Juifs comme de celle de tous les autres peuples ?

    Le génocide qui se déroule en Syrie ? C’est une vue de l’esprit, ils n’en ont jamais entendu parler ! Ils se gardent bien de préciser que la seule souffrance qui mérite leur compassion est celle du  « peuple palestinien ». Mais force est de constater que lui seul les intéresse, lui seul connaît des souffrances à nulles autres pareilles,  tout simplement parce qu’elles lui sont infligées par les Juifs. Leur humanisme se limite à la bande de Gaza et aux territoires qu’ils disent occupés. Ils sont les « humanitaires » de tous les ennemis du peuple juif.

    -  pacifistes : Ils se disent  assoiffés de paix et désireux d’œuvrer pour la paix. Peut-on se dire pacifiste quand on défend des terroristes  qui se cachent au milieu de civils pour rendre Israël responsable de la mort d’innocents ? Des pacifistes qui jugent bon que des hommes se transforment en bombes humaines pour tuer le maximum de personnes ! Comment peuvent-ils défendre des gens qui ont dans leur Charte la destruction totale d’Israël ?

    Le post-sionisme : un fléau qui se répand dans tous les domaines

    En réalité, pour les post-sionistes l’enjeu véritable ne porte ni sur la situation des Arabes israéliens, ni sur les territoires qu’ils disent « occupés », mais bien sur le caractère de l’État d’Israël qu’ils jugent État illégitime. Puisque la solution « deux  États pour deux peuples » ne convient pas aux antisionistes, car ils la jugent à l’avantage des Juifs ; puisque deux  peuples se disputent le même territoire, les post-sionistes ont la solution : la Terre reviendra à celui qui mérite le titre de peuple. Alors, pour répondre au désir des Arabes et à celui des antisionistes, ils défendent le droit à une patrie pour un peuple qui n’en est pas un, mais dénient ce droit  à celui qui en est un : le peuple juif ! Leur peuple !

    Ils vont donc travailler à construire un peuple et à déconstruire le peuple juif dont l’existence est attestée depuis plus de cinq millénaires. Comment ? En mettant toutes les sciences humaines et les arts à contribution pour une révision en profondeur de l’Histoire de l’État juif.

    C’est ainsi que l’État juif a ses « nouveaux sociologues, ses « nouveaux historiens », ses « nouveaux archéologues, mais aussi ses nouveaux artistes, écrivains, etc. Israël pourrait figurer dans le Livre des Records pour ce pour ce qui est du « révisionnisme ».

    « Les « nouveaux sociologues »

    C’est avec eux que tout commence, ils donnent le coup d’envoi de la remise en question de l’Histoire juive.

    Le philosophe Adi Ofir, par exemple, nourri des lectures des négationnistes français, va jusqu’à prétendre que c’est la Shoah qui explique le manque de compassion des Juifs vis-à-vis des Palestiniens. Autrement dit, il suffirait de ne plus en parler à l’école pour que le Juif de demain ait les « qualités » du post-sioniste.

    Un autre de ces post-sionistes décrète qu’Israël n’est en rien une démocratie. Alors, qu’est-ce ? Ce n’est tout de même pas une théocratie ! On n’est pas à un néologisme près quand il s’agit de l’État juif  qui pratique un « nouvel apartheid », est à l’origine d’ « une nouvelle question juive », d’un « nouvel antisémitisme » et connaît un renouvellement  dans toutes les sciences humaines :  Israël est une « ethnocratie ».

    Cette nouvelle épithète, créée en substituant au préfixe « démos » (le peuple) celui de « ethno », on la doit au professeur Oren Yiftachel qui  enseigne la géographie politique à l’Université Ben Gourion, à Beersheva . Selon lui, «  Israël est une ethnocratie, c’est-à-dire un régime dans lequel ce n’est pas la citoyenneté, mais l’ethnicité, qui détermine l’allocation des ressources étatiques ». En d’autres termes, Israël est un État raciste puisque tous les hommes n’y jouissent pas des mêmes droits, puisque le pouvoir est entre les mains des Juifs.

    Et la voie est ouverte pour une révision de l’Histoire juive

    « Les nouveaux historiens »

    Le danger que représentent les historiens est pour ainsi dire palpable, et ce n’est pas sans raison qu’ils sont surveillés de près dans les régimes totalitaires. Mais en Israël, un exemple de démocratie, ils peuvent tout se permettre.

    Alors, ceux qu’on avait d’abord appelés les « révisionnistes » – terme tout à fait approprié d’ailleurs-  deviennent sous Ehud Barak, « les nouveaux historiens » par opposition aux historiens traditionnels. Ce sont Benny Morris, Ilan Pappé, Shlomo Sand. Meron Benisti, Gilad Atzmon…

    Ils affirment être obsédés par la recherche de la Vérité historique, ce qui serait tout à leur honneur s’ils n’avaient pas choisi (1) de prendre fait et cause pour l’ennemi, de s’identifier à la cause « palestinienne », si tant est qu’il y en ait une, et d’aligner l’histoire d’Israël sur la version palestinienne ; et (2) si leurs travaux n’aboutissaient pas à mettre Israël sur le banc des accusés, ce qui semble de toute évidence avoir été leur but.

    Revoir l’Histoire juive, donc le fondement même de l’Histoire d’Israël, telle est la tâche à laquelle ils vont s’atteler.  

    1. Quelles persécutions ? Ils commencent par jeter le doute sur toutes les persécutions dont les Juifs ont été victimes. Ils donnent alors du  statut de dhimmi (citoyen de seconde zone) une vision idyllique, tout à fait aux antipodes de la réalité. Qui plus est, ils vont faire de la Shoah un massacre parmi tant d’autres, oubliant que deux juifs sur trois ont été massacrés en six ans. Ne rejoignent-ils pas ainsi les « révisionnistes », aussi choquant que soit le terme ? Non pas qu’il faille minimiser les autres génocides mais, de par son ampleur, la Shoah en est un à nul autre pareil.

    2. Critique radicale du sionisme : ils se lancent dans une critique radicale du sionisme qu’ils assimilent au colonialisme, faisant ainsi d’Israël un État raciste, un État d’apartheid. En fait, ils ne font que reprendre à leur compte toutes les accusations des antisionistes et vont jusqu’à prôner l’éradication de l’État juif. Et cela au grand bonheur des Palestiniens et de tous les antisémites de la terre qui se trouvent ainsi exonérés des accusations qu’ils portent contre Israël.

    3. La Guerre de 48 : ils affirment que ce ne sont pas les Arabes qui ont poussé les habitants à fuir, mais bien les Juifs qui les ont chassés. S’alignant sur les propos de l’historien Benny Morris, beaucoup prétendent qu’Israël s’est construit aux dépens des Palestiniens que les Juifs ont massacrés sans pitié, qu’il n’y a jamais eu d’exode des Arabes en 48, mais que les Israéliens ont pratiqué un nettoyage, une « épuration ethnique »!

    Pourtant, ils savent qu’il existe une somme de documents prouvant que les Israéliens n’ont aucune responsabilité dans cet exode, qu’il a été orchestré par les chefs d’États arabes: « La somme des preuves essentielles actuellement à notre disposition, indique que l’évacuation de la Palestine est due à l’exhortation des chefs militaires ou politiques des États arabes eux-mêmes », peut-on lire dans l’Analyse de l’institut des affaires publiques (Washington). Mais comment faire entendre raison à des gens qui ont choisi le camp des « Palestiniens », des gens qui parlent de la Naqba (la catastrophe), adoptant ainsi la terminologie des ennemis de l’État juif ?

    4. Remettre en question l’existence du peuple juif, donc la Vérité historique

    L’Histoire du peuple juif est un des fondements d’Israël. La remettre en question, c’est saper les fondements de l’État juif, donc le détruire.

    Et tout concourt à prouver que la seule et unique préoccupation des « nouveaux historiens » consiste à  remettre en question la Vérité historique, celle qui s’appuie sur la Bible, pour la remplacer par une tout autre vérité, celle qui permettra de  dénier au peuple juif tout droit sur la Terre sainte.

    Comment construire cette autre vérité? En démontrant que le peuple juif n’est pas un peuple, donc qu’il ne peut prétendre à un État.  Et c’est à cela que va se livrer celui qu’on considère comme le chef de file de ces « nouveaux historiens », et qui ose  prétendre « faire œuvre d’historien » : Shlomo Sand.

    Et en 2008 il publie « Comment le peuple juif fut inventé », un livre où il s’emploie à déconstruire l ‘Histoire du peuple juif pour faire embrasser au lecteur ce qu’il considère comme la Vérité : « le peuple juif est un mythe », une invention qui date du XIV è siècle.

    Il s’applique à démontrer que la Bible est une légende, un peu au même titre que l’Iliade et l’Odyssée, et par conséquent, Moïse, Salomon, David, Josué, et tous les prophètes n’auraient jamais existé. La Bible aurait été l’instrument qui a permis aux sionistes d’inventer une Histoire du judaïsme dans laquelle  l’Exil et le Retour ne sont que pure affabulation. Comment expliquer alors qu’on ait pu écrire un conte d’une telle cohérence ? Et comment expliquer que ce soit l’ouvrage le plus vendu au monde ?

    Pour Sand, les Juifs n’ont jamais été chassés de leurs terres par Titus, tout n’est que pure fiction. Les descendants des Hébreux ne sont pas les Juifs, mais les Palestiniens, et il voit dans le fait que Ben Gourion ait voulu qu’ils fassent partie d’Israël l’argument pour fonder sa thèse.

    Alors, les Juifs d’aujourd’hui ? Des descendants de convertis , contraints par les sionistes d’abandonner leurs traditions et  leur langue maternelle pour embrasser l’hébreu.

    Évidemment, Sand sait très bien que l’adoption d’une langue commune était indispensable pour qu’Israël ne soit pas changé en une Tour de Babel. Et quelle langue aurait-il fallu adopter, M. Sand ? N’est-il pas logique que les Juifs aient opté pour la langue de leurs ancêtres, celle que nombre d’émigrants connaissaient puisque c’est celle dans laquelle a été écrite la Bible ?

    Comme son livre a été un best-seller en Israël pendant près de 5 mois et qu’il a connu un succès inespéré en France, cette année, il récidive avec  « La Terre d’Israël est un mythe ». Sur quoi se base-t-il ? Sur le fait que les archéologues n’aient pas encore trouvé de preuves incontestables de l’existence du royaume de David.

    Lire aussi : La dernière absurdité de Shlomo Sand – « La terre d’Israël est un mythe »

    Les conséquences ? Si la Bible, et le peuple juif et la Terre d’Israël sont des mythes, il n’est donc pas possible aux Juifs de réclamer un État, donc Israël n’est pas l’État juif. Il doit être l’État de tous ses citoyens eu égard à leur religion, en réalité un État d’où seront exclus les Juifs (judenrein), mais Sand n’ose pas encore le dire.

     Si Sand cherchait à faire parler de lui – ce qui est plus que probable- force est de constater qu’avec ces deux ouvrages scandaleux, il a réussi. Grâce à cette « démonstration », il est l’objet d’éloges on ne peut plus flatteurs de la part de tous les antisionistes.

    Au lieu de mettre son savoir au service de son peuple et de sa patrie en prouvant que le peuple palestinien a été inventé- une tâche relativement facile- il choisit de se poser en ennemi de son peuple. L’Histoire le retiendra !

    Les conséquences sont extrêmement graves, car beaucoup de ceux qu’on juge les « bien-pensants » occupent des postes à l’université. Et leur antisionisme risque fort de s’inscrire dans les cerveaux des jeunes et de faire des émules.

    Et on prétend qu’il existe des groupes de surveillance israéliens pour s’assurer que les universitaires ne tiennent pas des propos qui pourraient porter du tort à l’État juif. Qu’en serait-il alors s’ils n’existaient pas ?

    Dora Marrache, Chroniqueuse pour israel-flash

     


    Lire la suite: http://www.israel-flash.com/2012/06/antisionisme-antisemitisme-le-post-sionisme-fleau-qui-se-repand-dans-tous-les-domaines/#ixzz1zOg0eqQH


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  • La VIE est morte à Auschwitz


    Ce qui suit est une copie d'un article écrit par l'écrivain espagnol, Sebastián Rodríguez Vilar et publiée dans un journal espagnol le 15 Jan.2008. Il ne faut pas beaucoup d'imagination pour extrapoler le message au reste de l'Europe - et, éventuellement, au reste du monde. Ce n'est guère de la propagande, les faits parlent d'eux-mêmes.

    Contexte: cet article est paru dans un journal espagnol


    Toutes les vies européennes sont mortes à Auschwitz

    Par Sébastien Vilar Rodrigez


    Je marchais dans la rue à Barcelone, et soudain je découvrais une terrible vérité - L'Europe est morte à Auschwitz ..... Nous avons tué
    six millions de Juifs et nous les avons remplacés par 20 millions de musulmans.

    A Auschwitz, nous avons brûlé une culture, la pensée, la créativité, le talent.

    Nous avons détruit le peuple élu, véritablement choisi, car ils ont produit des gens formidables et merveilleux qui ont changé le monde.

    La contribution de ce peuple se fait sentir dans tous les domaines de la vie: science, art, commerce international, et surtout, comme la conscience du monde.

    Ce sont les gens que nous avons brûlés.

    Et sous prétexte de tolérance, et parce que nous voulions nous prouver à nous-mêmes que nous avons été guéris de la maladie du racisme, nous avons ouvert nos portes à 20 millions de musulmans, qui nous ont apporté la stupidité et l'ignorance, l'extrémisme religieux et le manque de tolérance, la criminalité et la pauvreté, due à un manque de volonté de travailler et de soutenir leurs familles avec fierté.

    Ils ont fait sauter nos trains et transformé nos belle villes espagnoles dans le tiers monde, noyé tout dans la crasse et la criminalité.

    Enfermé dans les appartements qu'ils reçoivent gratuitement du gouvernement, ils planifient d'assassiner et de détruire leurs hôtes naïfs.

    Et ainsi, dans notre misère, nous avons échangé la culture pour de la haine fanatique, le savoir-faire créatif pour des compétences destructrices, l'intelligence pour le retour en arrière et la superstition.


    Nous avons échangé la poursuite de la paix des Juifs d'Europe et leur talent pour un avenir meilleur pour leurs enfants, leurs détermination a
    s'accrocher à la vie car la vie est sacrée, pour ceux qui poursuivent la mort, pour des personnes consommées par le désir de mort pour eux et les autres, pour nos enfants et les leurs.


    Quelle terrible erreur a été faite par la misérable Europe ...

    La population mondiale est d'environ 1,2 milliards islamiques, c'est un milliard deux cent millions ou 20% de la population mondiale. Ils ont reçu les Prix Nobel suivants:

    Littérature:
    1988 - Najib mahfouz

    Paix:
    1978 - Mohamed Anwar El-Sadat
    1990 - Elias James Corey
    1994 - Yasser Arafat:
    1999 - Ahmed Zewai

    Économie:
    (Zéro)

    Physique:
    (Zéro)

    Médecine:
    1960 - Peter Medawar Brian
    1998 - Ferid Mourad

    TOTAL: 7 (sept)


    La population juive mondiale est approximativement de 14.000.000, c'est quatorze millions, soit environ 0,02% de la population mondiale.

    Ils ont reçu les Prix Nobel suivants:

    Littérature:
    1910 - Paul Heyse
    1927 - Henri Bergson
    1958 - Boris Pasternak
    1966 - Shmuel Yosef Agnon
    1966 - Nelly Sachs
    1976 - Saul Bellow
    1978 - Isaac Bashevis Singer
    1981 - Elias Canetti
    1987 - Joseph Brodsky
    1991 - Nadine Gordimer mondiale

    Paix:
    1911 - Alfred Fried
    1911 - Tobias Michael Carel Asser
    1968 - René Cassin
    1973 - Henry Kissinger
    1978 - Menahem Begin
    1986 - Elie Wiesel
    1994 - Shimon Pérès
    1994 - Yitzhak Rabin

    Physique:
    1905 - Adolph von Baeyer
    1906 - Henri Moissan
    1907 - Albert Abraham Michelson
    1908 - Gabriel Lippmann
    1910 - Otto Wallach
    1915 - Richard Willstaetter
    1918 - Fritz Haber
    1921 - Albert Einstein
    1922 - Niels Bohr
    1925 - James Franck
    1925 - Gustav Hertz
    1943 - Gustav Stern
    1943 - George Charles de Hevesy
    1944 - Isidor Rabi Issac
    1952 - Felix Bloch
    1954 - Max Born
    1958 - Igor Tamm
    1959 - Emilio Segre
    1960 - Donald A. Glaser
    1961 - Robert Hofstadter
    1961 - Melvin Calvin
    1962 - Lev Davidovich Landau
    1962 - Max Ferdinand Perutz
    1965 - Richard Phillips Feynman
    1965 - Julian Schwinger
    1969 - Murray Gell-Mann
    1971 - Dennis Gabor
    1972 - William Howard Stein
    1973 - Brian David Josephson
    1975 - Benjamin Mottleson
    1976 - Burton Richter
    1977 - Ilya Prigogine
    1978 - Arno Allan Penzias
    1978 - Peter L Kapitza
    1979 - Stephen Weinberg
    1979 - Sheldon Glashow
    1979 - Herbert Charles Brown
    1980 - Paul Berg
    1980 - Walter Gilbert
    1981 - Roald Hoffmann
    1982 - Aaron Klug
    1985 - Albert A. Hauptman
    1985 - Jerome Karle
    1986 - Dudley R. Herschbach
    1988 - Robert Huber
    1988 - Leon Lederman
    1988 - Melvin Schwartz
    1988 - Jack Steinberger
    1989 - Sidney Altman
    1990 - Jerome Friedman
    1992 - Rudolph Marcus
    1995 - Martin Perl
    2000 - Alan J. Heeger

    Économie:
    1970 - Paul Anthony Samuelson
    1971 - Simon Kuznets
    1972 - Kenneth Joseph Flèche
    1975 - Leonid Kantorovitch
    1976 - Milton Friedman
    1978 - Herbert A. Simon
    1980 - Laurent Robert Klein
    1985 - Franco Modigliani
    1987 - Robert M. Solow
    1990 - Harry Markowitz
    1990 - Merton Miller
    1992 - Gary Becker
    1993 - Robert Fogel

    Médecine:
    1908 - Elie Metchnikoff
    1908 - Paul Erlich
    1914 - Robert Barany
    1922 - Otto Meyerhof
    1930 - Karl Landsteiner
    1931 - Otto Warburg
    1936 - Otto Loewi
    1944 - Joseph Erlanger
    1944 - Herbert Spencer Gasser
    1945 - Ernst Boris Chain
    1946 - Hermann Joseph Muller
    1950 - Tadeus Reichstein
    1952 - Selman Abraham Waksman
    1953 - Hans Krebs
    1953 - Fritz Albert Lipmann
    1958 - Joshua Lederberg
    1959 - Arthur Kornberg
    1964 - Konrad Bloch
    1965 - François Jacob
    1965 - André Lwoff
    1967 - George Wald
    1968 - Marshall W. Nirenberg
    1969 - Salvador Luria
    1970 - Julius Axelrod
    1970 - Sir Bernard Katz
    1972 - Gerald Maurice Edelman
    1975 - Howard Martin Temin
    1976 - Baruch S. Blumberg
    1977 - Roselyn Sussman Yalow
    1978 - Daniel Nathans
    1980 - Baruj Benacerraf
    1984 - Cesar Milstein
    1985 - Michael Stuart Brown
    1985 - Joseph L. Goldstein
    1986 - Stanley Cohen [& Rita Levi-Montalcini]
    1988 - Gertrude Elion
    1989 - Harold Varmus
    1991 - Erwin Neher
    1991 - Bert Sakmann
    1993 - Richard J. Roberts
    1993 - Phillip Sharp
    1994 - Alfred Gilman
    1995 - Edward B. Lewis
    1996 - Lu RoseIacovino

    TOTAL: 129! (Cent vingt neuf)


    Les Juifs ne font pas la promotion du lavage de cerveau des enfants dans les camps de formation militaire.

    Ils ne leur apprennent pas à se faire exploser et a causer le maximum de mort de musulmans et d'autres non-musulmans.

    Les Juifs ne détournent pas des avions, ne tuent pas les athlètes lors des Jeux olympiques, et ne se font pas exploser dans un restaurant allemand.
    Il n'y a pas un seul Juif qui a détruit une église.
    Il n'y a pas un seul Juif qui proteste en tuant des gens.
    Les Juifs ne font pas de trafic d'esclaves, n'ont pas de dirigeants qui appellent au Jihad et à la mort de tous les infidèles.

    Peut-être les musulmans du monde devraient considérer a investir plus dans l'enseignement ordinaire et moins a blâmer les Juifs pour tous leurs problèmes.
    Les musulmans doivent demander ce qu'ils peuvent faire pour l'humanité avant d'exiger que l'humanité les respecte.

    Indépendamment de vos sentiments à propos de la crise entre Israël et les Palestiniens et les voisins arabes, même si vous croyez qu'il y a plus de culpabilité de la part d 'Israël, les deux phrases suivantes disent vraiment tout: «Si les Arabes déposaient les armes aujourd'hui, il n'y aurait plus de violence. Si les Juifs déposaient leurs armes aujourd'hui, il y aurait plus aucune Israël. "
    Benjamin Netanyahu

    Le général Eisenhower nous a avertis: c'est un fait historique. Et donc lorsque le commandant suprême des Forces alliées, le général Dwight Eisenhower a trouvé les victimes des camps de la mort, il a ordonné de prendre toutes les photographies possibles, au peuple allemand des villages environnants de visiter les camps et même, d'enterrer les morts.
    Il a fait cela parce qu'il a dit des mots à cet effet: «Rassemblez tous les dossiers et documents maintenant - saisissez les films – faites parler les témoins - parce que quelque part sur la route de l'histoire quelques bâtards vont se lever et dire que cela n'est jamais arrivé»

    Récemment, le Royaume-Uni a débattu pour savoir s'il fallait supprimer la Shoah de son cursus scolaire, car il «offense» la population musulmane qui affirme que cela n'a jamais eu lieu. Ce n'est pas encore supprimé... Cependant, c'est un signe effrayant de la peur qui paralyse le monde et combien il est facile pour chaque pays d'être paralyse par elle. Cela fait plus de 60 ans après que la Seconde Guerre mondiale prit fin en Europe ..

    Cet e-mail est envoyé comme une chaîne commémorative, en souvenir des 6 millions de juifs, 20 millions de Russes, 10 millions de chrétiens, et 1900 prêtres catholiques qui ont été assassinés, violés, brûlés, affamés, battus, humiliés et ont servis de cobaye, tandis que le peuple allemand a regardé ailleurs.
    Maintenant, plus que jamais, avec l'Iran, entre autres, revendiquant que l'Holocauste est «un mythe», il est impératif de s'assurer que le monde n'oublie jamais. Cet e-mail est destiné à atteindre 400 millions de personnes .. Être un maillon dans la chaîne de mémoire et aider à distribuer ce message à travers le monde.
    Combien d'années faudra-il avant que l'attaque du World Trade Center "n'ait jamais eu lieu" parce qu'elle offense les musulmans des États-Unis?

    Ne vous contentez pas de supprimer ce message, cela ne prendra que quelques minutes pour le faire passer.


     


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