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Petit "Mea culpa" de Goldstone... Doit mieux faire !
J'avais pensé écrire un texte sur les "précisions" que nous apporte le bon juge Goldstone, je ne vais laisser là que quelques réflexions personnelles…
Les réactions sont évidemment très nombreuses, et l'émotion très forte en Israël. Cela va trop vite pour moi, et je ne vois pas ce que je pourrais apporter de bien conséquent ou de quelqu'intérêt, compte tenu de tout ce qui "tombe" en ce moment sur le web.
Si ce n'est une toute simple réflexion, pour ne pas dire simpliste, mais j'assume.
On sait comme il est malsain qu'un enfant soit scolarisé dans la classe où l'un de ses parent est instituteur ou professeur.
Dans le même ordre d'idée, qu'est-ce que ce monsieur est allé faire à la tête de cette commission d'enquête, lui, juif d'Afrique du sud émigré aux Etats-Unis, ayant de surcroît de la famille en Israël, commission financée pour une grande partie par le Hamas et ses alliés?
Commission constituée de membres a-priori hostiles à Israël…
Il y avait là dès l'origine un conflit d'intérêt.
Cela étant dit, je pense qu'il ne doit pas s'arrêter en si bon chemin, non de Damas mais de Jérusalem: Il doit des excuses circontanciées et publiques à Israël et au peuple juif.
Il doit préciser de façon publique également sur ce qu'il entend par "cette histoire de parti pris contre Israël" de la commission des droits de l'homme, dont il faudrait se souvenir de la composition…
Je voudrais ajouter un dernier mot, qui est une interrogation à laquelle j'aimerais des réponses.
Quelle est le rôle, direct ou indirect, de ce rapport scandaleux dans l'émergence des mouvements JStreet et JCall, quels financements communs, quelles acquointances communes, tout cela aurait intérêt à être "détricoté"…
P.S.: Je mets en commentaire de cette brève la page Wikipédia telle que je l'ai copiée vers 11 heures (heure israélienne), ne pensant pas tout-à-fait invraisemblable qu'elle subisse quelques avanies…
Tags : israel, commission, cela, interet, communs
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La page wikipédia vers 11 heures (heure de Jérusalem)...
Désigné par le Conseil des droits de l'homme des Nations unies pour établir un rapport sur l'opération militaire appelée Opération Plomb Durci dans la Bande de Gaza, le juge Richard Goldstone a remis ses conclusions le jeudi 15 septembre 2009 dans un document appelé Rapport Goldstone par les médias[1]. Dans ce rapport, l'armée israélienne et le Hamas sont accusés d'avoir commis des « actes assimilables à des crimes de guerre et peut-être, dans certaines circonstances, à des crimes contre l'humanité »[2],[3],.
Le 16 octobre 2009, Le Conseil des droits de l'homme des Nations unies adopte une résolution condamnant l'absence de collaboration d'Israël à l'enquête de la commission conduite par le juge Goldstone. L'adoption a été fait avec 25 voix pour, 6 contre (dont les États-Unis) et 11 abstentions[4].
Le 16 octobre également, le Conseil des droits de l'homme engage les parties à veiller à l'application du rapport sur la situation en «Palestine occupée»[5].
L'État d'Israël répond que lors de l'Opération Plomb durci, Tsahal n'a pas «tué intentionnellement des civils» palestiniens et qu'Israël n'a fait qu'exercer «son droit d'auto-défense» face à des «attaques terroristes» contre son territoire [6].
Le 1 avril 2011, le juge Goldstone, dans une tribune publiée dans le Washington Post, a déclaré qu’il est temps de «reconsidérer» les conclusions du rapport portant son nom. Il considère aujourd'hui qu'à la lumière des éléments d’enquêtes publiés par Israël «on ne peut plus dire qu’Israël est responsable de crime de guerre.» Il a par ailleurs déploré que le Hamas n'ait de quant à lui mené aucune enquête et qu'avoir escompté qu'il le fasse était une «erreur». Il a ajouté qu'il n'a pas été suffisamment fait état du fait que le Rapport Goldstone a qualifié les attaques du Hamas contre les populations civiles israéliennes comme étant illégales et des actes de terrorisme. Il a aussi souligné qu'il était indéniable que le Conseil des droits de l'homme des Nations unies avait «une histoire de parti-pris contre Israël» et qu'il doit condamner «l'inexcusable massacre commis de sang froid» récemment contre une famille israélienne, dont deux enfants et un bébé alors qu'ils étaient dans leurs lits[7]. Le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a réagit en déclarant qu'il était maintenant démontré que comme les autorités israéliennes l'avait toujours affirmé «qu'Israël n'a pas nui intentionnellement aux civils». Il a demandé à l'Onu d'annuler et classer ce rapport. Le porte-parole du Hamas et le ministre palestinien des Affaires étrangères, Ryad al Malki, maintiennent que «des crimes de guerre ont été commis» par Israël.[]