• "Nous sommes des anti-colonialistes: nous défendons le droit des juifs à occuper et à gérer leur terre ancestrale sans devoir se soumettre à l'avis ou à l'oppression d'une autorité coloniale musulmane arabe ou turc ou chrétienne européenne.

    Nous sommes des anti-impérialistes: nous défendons le droit des juifs à résister contre l’impérialisme arabo-musulman qui les entoure et qui cherche à détruire leur particularisme ethnique, culturel, national et religieux pour imposer sa suprématie sur le sud-méditerranéen avant de s'attaquer à l'ensemble du pourtour méditerranéen.

    Nous sommes des anti-capitalistes: nous défendons les travailleurs, les paysans, les ingénieurs, les inventeurs israéliens qui ont fait d'une terre désertique, inculte et sans ressources naturelles un pays démocratique développé à la pointe de l'agriculture comme des industries de haute technologie contre la puissance financière outrancière de la caste dirigeante autocratique et raciste des pays producteurs de pétrole qui exploitent les ressources de la planète sans aucune retenue, exploitent la pauvreté de travailleurs pakistanais, indiens, arabes et même des palestiniens, se livrent à une corruption mondiale décomplexée envers les politiciens du monde entier et déstabilisent l'économie et la géopolitique au gré de leurs caprices pour ensuite racheter à tour de bras des actifs dans des pays qu'ils sabotent.

    Nous sommes des anti-fascistes: nous défendons les juifs contre l'héritage nazi qui a inspiré les thèses de la cause palestinienne et contre les violences qui leur sont faites en Europe et aux USA au nom d'un antisémitisme néo-nazi et d'extrême-droite et nous défendons Israël contre la menace du nationalisme socialiste arabe, auréolé d'un militarisme inspiré du fascisme des années 30, des pays limitrophes d'Israël.

    Nous sommes des défenseurs des minorités: nous défendons les 8 millions d'Israéliens contre les 300 millions d'arabes qui veulent la destruction d'Israël , soutenus par plusieurs autres millions d'antisionistes, et nous défendons les 13 millions de juifs dans le monde contre le peu ou prou 1,6 milliard de musulmans qui veulent leur extermination ou qui fermeraient les yeux sur un tel crime, soutenus par plusieurs millions de nationalistes occidentaux et de catholiques fondamentalistes qui veulent venger un déicide et le reste des millions d'occidentaux qui n'en auraient rien à foutre si ça arrivait.

    Nous sommes des démocrates humanistes: nous défendons la seule démocratie parlementaire d'état de droit, basée sur la liberté et l'égalité des citoyens, qui fonctionne depuis plus de 60 ans au milieu d'un conglomérat d'autocraties policières et de monarchies religieuses féodales qui méprisent complètement les droits élémentaires de la nature humaine et persécutent leurs populations pour se maintenir au pouvoir, si besoin à grands coups de crimes contre l'humanité.

    Avis à beaucoup de ceux qui pensent défendre des valeurs de gauche, Jean-Luc Mélenchon, Olivier Besancenot, Clémentine Autain en tête: Tout en étant des patriotes français foncièrement anti-communistes et opposés à l'étatisme socialiste, nous sommes plus à gauche que vous! Si vous vous compreniez vos propres principes et vos propres valeurs et si vous étiez cohérent avec vous-même, vous défendriez bec et ongles Israël!

     

    Et avis à tout ceux qui se cassent les neurones à nous faire rentrer dans leurs cases étriquées: continuez à vous casser les neurones, ça nous fait plaisir! La seule de vos cases dans laquelle on rentre volontiers est celle des casse-burnes qui bousculent vos certitudes et vos grandes théories!"

    Par Ces Goys qui défendent Israël 


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  • Une de mes correspondantes et amies de Facebook me demande ce que je pense de l'arrêt des hostilités...

    Je dois lui avouer que je suis très perplexe. Et je demande à ceux qui me liront de ne prendre les lignes qui suivent que pour ce qu'elles sont, c'est-à-dire une réaction à chaud sur des événements qui ne sont pas encore décantés. Pour dire les choses très clairement, je revendique ici le droit de me tromper... 

    ***

    Nétanyahu...

    Benjamin Nétanyahu est d'une certaine façon un paradoxe vivant. Considéré comme un faucon à l'étranger, c'est tout juste si ici, en Israël, il n'est pas traité de lâche...

    Il y a un malentendu entre lui et le peuple israélien. Il y a aussi un malentendu entre lui et les chefs d'Etats des "nations"... 

    A mon avis, ce malentendu s'enracine déjà lors de son discours de Bar-Ilan, quelques semaines après sa nomination comme Premier ministre, prononcé le 15 juin 2009, au cours duquel il a solennellement accepté la solution dite "deux Etats pour deux peuples". 

    Ce discours était à mon avis très maladroit, dans la mesure où je suis convaincu que cette solution ne solutionne rien du tout, et ne fait que le lit d'un conflit à venir auprès duquel ce que nous avons vécu ferait figure de pipi de chatte - ceux qui aiment ces aimables félidés savent que les pipis de chats sont odoriférement bien plus agressifs que ceux des femelles...

    ***

    J'ai pensé, j'ai voulu penser que Benyamin Nétanyahu voulait gagner du temps en montrant sa bonne volonté. J'ai pensé que c'était une erreur, parce qu'après ce genre de déclaration, que pouvait exiger de nous le monde entier? Sinon ce à quoi il disait souscrire lui-même?

    ***

    Pour revenir sur ce cessez-le-feu, je pense qu'il a une petite chance de durer... Un peu. Qu'il ne résout strictement rien sur le fond.

    ***

    Je ne suis certain que d'une chose, il n'y a chez nous que quelques personnes qui ont accès aux informations les plus sensibles, sans doute moins que les doigts d'une seule main. Pour cette raison, je reste perplexe et accepte de ne pas tout comprendre, car si l'on me donnait tous les éléments pour comprendre, on les donnerait aussi à tous nos ennemis. C'est une situation et un vécu difficile. Ce sont les nôtres.

    ***

    Sur le plan militaire, je pense que nous avons gagné. Le Hamas est considérablement affaibli, et ne retire aucun gain militaire ni diplomatique.

    ***

    Sur le plan international, notre position s'est améliorée: il suffit pour s'en rendre compte que nous avons pu poursuivre notre action 50 jours sans condamnation forte des "nations".

    L'Egypte s'est à cette occasion révélée un partenaire, un réchauffement de nos relations avec ce pays est une opportunité que je souhaite.

    ***

    La création du Daesh (ou Eiil), de ce califat qui se livre à une épuration ethnico-religieuse dans la région, commence à ouvrir des yeux occidentaux: les USA vont agir, ou bien la Jordanie fera appel à Tsahal pour stopper ce cancer.

    ***

    Je pense que toutes ces considérations ont joué dans la décision de notre gouvernement d'accepter une trêve réclamée d'ailleurs par ces vaillants combattants du Hamas, certains terrés dans les sous-sols de l'hôpital Al-Shiffa de Gaza, un autre (Khaled Meshal), en sécurité dans sa suite à 5 étoiles d'un des meilleurs hôtels du Qatar.

    ***

    Reste qu'une erreur considérable a été commise, et je ne sais pas encore qui est responsable, mais je ne doute pas qu'il y aura une commission d'enquête: d'où est venue il y a quelque jours la consigne donnée aux habitants des villages jouxtant la bande de Gaza de revenir, tout danger étant écarté? Le résultat est un gamin de quatre ans tué par un obus de mortier. 

    ***

    Nous, Israéliens, nous acceptons de mourir pour notre pays qui est aussi un idéal, mais nous n'acceptons pas ne serait-ce qu'une mort qui aurait pu être évitée. Et là, il y a eu merdouille... Et les responsables doivent être identifiés et... sanctionnés.

    ***

    A bientôt! 

     

     

     

     

     

     

     


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  • Je reprends ce texte du blog de Gérard Brazon ( http://www.gerard-brazon.com/):

     

    Voici un témoignage d’une rare lucidité de  Joseph Farah, journaliste arabe  américain, publié en anglais sur le site  www.worldnetdaily.com  

     

    Nous savons déjà  que Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s’accordent tous sur le fait que la ‘Palestine’ était  » un désert parsemé de rares bourgades ». 

    Gustave Flaubert nous rapportait même que « Jérusalem est un charnier entouré de murailles. Tout y pourrit, les chiens morts dans les rues, les religions dans les églises. Il y a quantité de merdes et de ruines. Le juif polonais avec son bonnet de renard glisse en silence le long des murs délabrés, à l’ombre desquels le soldat turc engourdi roule, tout en fumant, son chapelet musulman…«  

     

    En tant que critique arabe américain le plus en vue, en ce qui concerne Yasser Arafat et les objectifs-bidon « palestiniens », je reçois beaucoup de courrier haineux et plus que ma part de menaces de mort. La plupart de ces attaques – au moins celles qui se donnent la peine d’aller au-delà des insultes et de l’obscénité – disent seulement que je ne comprends pas ces pauvres Arabes qui ont été déplacés, chassés de leurs maisons et transformés en réfugiés par les Israéliens, ni n’ai de compassion pour eux. 

    « Permettez-moi d’affirmer clairement et simplement ceci: les Juifs en Israël n’ont pris la terre de personne.  

     

    Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert (1)  

     

    Au début du XXe siècle cela commença à changer. Des Juifs venus du monde entier se mirent à revenir dans leur patrie ancestrale, la Terre Promise que Moïse et Josué avaient conquise, des millénaires auparavant, ainsi que le croient Chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem. En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s’appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.

     

    Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait : alors même que l’Empire Ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 Musulmans, 13.000 Chrétiens et 40.000 Juifs. « Le nombre de Juifs s’est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l’interdiction d’immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite », déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population, déjà en 1906. Et bien que les Musulmans proclament aujourd’hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l’Islam, quand la ville était sous régime musulman, ils ne lui manifestaient que très peu d’intérêt. 

     

    Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils y trouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux. 

    Winston Churchill observa en 1939: « Ainsi, loin d’y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s’y sont multipliés jusqu’à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n’avaient pu mobiliser de Juifs. »  

     

    Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux Etats dans la région, l’un juif, l’autre arabe. Les Juifs l’acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.

    Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs. Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu’Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Le résultat ne fut pas celui qu’ils escomptaient. Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d’Arabes furent déplacés du fait de cette guerre, mais non par une agression israélienne, non par un accaparement des propriétés foncières par les Juifs, non par un expansionnisme israélien. En réalité, il existe de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ces derniers choisirent de partir.

     

    54 ans plus tard, les enfants et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, et ce non du fait de l’intransigeance israélienne, mais parce qu’ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes. Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches Etats arabes pétroliers, qui contrôlent 99,9% de la totalité des territoires du Moyen-Orient, mais ils sont gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et utilisés comme armes en tant que martyrs-suicide par les détenteurs arabes du pouvoir.

     

    Telle est la véritable histoire moderne du conflit arabo-israélien. Jamais les Juifs n’ont arraché les familles arabes de leurs foyers. Quand la terre avait un détenteur, ils en achetaient les titres de propriété largement excessifs, pour pouvoir avoir un lieu où vivre à l’abri des persécutions qu’ils avaient subies partout dans le monde.

    Dire que les Israéliens ont déplacé qui que ce soit est un énorme et flagrant mensonge dans d’une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre, encore une fois, une autre grande injustice envers les Juifs. »

     

    Joseph Farah

     

    (1) « La terre d’Israël (baptisée ‘Palestina’ par l’Empire romain et rebaptisée ‘Palestine’ par ses descendants anglo-saxons) était quasiment vide et désolée avant les grands mouvements migratoires de la fin du XIXe siècle, comme en témoignèrent tous les archéologues et écrivains qui la visitèrent à l’époque. Thomas Shaw, Constantin espondance (http://expositions.bnf.fr/veo/cabinet/citation.htm)

     

    Remarque du Collectif  Arabes Pour Israël : 

    Enfin des personnes qui sont prêts à dire une vérité que d’autres non pas envie d’entendre de peur de représailles mais qui n’en pensent pas moins! Heureusement qu’il y a des hommes et des femmes qui défient l’ordre établit de ses gangs poussiéreux et primitifs qui justifient  l’obscurantisme par la culpabilisation. Il est tant que cela change!! Cela fait plus de 2000 ans que ça existe. 

    A paru dans Arabes pour Israël, lien joint :

     

    Source : http://arabespourisrael.unblog.fr/2009/04/09/les-juifs-nont-pris-la-terre-de-personne-par-joseph-farah/

     

    "Les juifs n'ont pris la terre de personne" par Joseph Farah


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  • Un artisan de Sdérot a eu l'idée d'utiliser des débris de Kassams pour les transformer en objets d'art... 

    Je trouve ça génial et ne résiste pas au désir de la faire connaître... 

     

    http://rocketsintoroses.theisraelboutique.com/jewelry.html

    Il y en a pour toutes les bourses... 


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  • "Deux-Etats-pour-deux-peuples", c'est devenu un mantra internationalement partagé, et même - à mon immense regret - ici même, en Israël.

    Depuis le début de l'opération "Tzouk eytan" - curieusement traduite par "barrière protectrice", comme si nous avions honte d'annoncer la couleur et de donner une traduction plus exacte, "Roc (ou rocher) inébranlable", je regarde, à défaut d'autre chose, cette chaîne qui émet depuis Tel-Aviv en trois langue, dont le Français (curieusement, pas en Hébreu). 

    Si j'y trouve très partiellement mon compte dans la partie strictement informative, si je dois lui reconnaître de donner parfois la parole à des gens comme Emmanuel Navon, du Likoud, je suis parfois si mal à l'aise en la regardant que je la coupe. 

    La raison est très simple: la ligne éditoriale de ce média est la même que la grande majorité de tous les médias du monde, et adhère, et nous vend cette fameuse solution dite "Deux-Etats-pour-deux-peuples". 

    Cette solution d'une paix utopique est devenue un dogme, un credo universel. 

    Il repose sur deux idées fondamentales: 

    La première est que le "peuple palestinien" a le droit à un Etat. La seconde est que la mise en oeuvre de cette solution apportera la paix dans la région. 

    Ces deux idées fondamentales sont fondamentalement fausses, et je vais tenter d'expliquer pourquoi j'ai cette opinion. 

    ***

    Mais auparavant, je voudrais préciser qu'il y a un certain nombre de points que je ne vais pas aborder dans ce billet. Et cela, pour la première raison que cela a déjà été fait par une quantité de gens beaucoup plus compétents que moi, en second lieu parce que cela noierait l'essentiel de ce que je veux ici exprimer. 

    C'est ainsi que je ne vais même pas expliquer pourquoi je mets "peuple palestinien" entre guillemets et en italiques: en effet, une quantité d'études historiques, sociologiques et même portant sur les patronymes des intéressés prouvent qu'il n'y a pas de sens à parler de "peuple palestinien". Si je voulais aller plus avant sur cet aspect des choses, je pointerais le fait qu'il est même abusif, parce qu’incomplet, d'évoquer des populations arabes établies sur les territoires de Judée, de Samarie, et de la bande de Gaza, puisque des sources incontestables indiquent parmi ces populations des gens venus de Bosnie, et d'autres régions bien lointaines... 

    Il y a sur ces points des études qui sont absolument incontestables, et si d'aucuns le souhaitent, je rechercherai les sources pour étayer mes dires.

    ***

    J'ai avancé que ces deux idées - que le "peuple palestinien a droit à un Etat" et que la solution "Deux Etats pour deux peuples" apporterait la paix dans la région, sont fondamentalement fausses...

    Je vais commencer par cette seconde idée, selon laquelle "Deux Etats pour deux peuples" apporteraient la paix... 

    De quoi s'agit-il en réalité? 

    De donner aux "palestiniens" la Judée et la Samarie - certains envisagent même qu'on leur donne une partie de Jérusalem pour qu'ils en fassent leur capitale! 

    Alors regardez la carte: 

     

    L'utopie du "deux Etats pour deux peuples"...

     

     En ton clair, vous avez Israël dans les lignes d'armistice de 1948. En ton foncé et jusqu'au Jourdain, la Judée et la Samarie, faussement appelées "Cisjordanie". 

    Cette autre carte est peut-être plus claire: 

     

    L'utopie du "deux Etats pour deux peuples"...

     

    En bas à gauche, vous avez un territoire en rouge, c'est la bande de Gaza.

    L'autre zone rouge, beaucoup plus grande, est ce qu'on appelle "Cisjordanie", c'est-à-dire la Judée et la Samarie.  

    Ce qu'on appelle la solution "deux-Etats pour deux peuples", c'est plus ou moins l'attribution au peuple dit "palestinien" de ces deux zones rouges.

    J'affirme que cette solution n'apporterait nullement la paix, sinon celle des cimetières pour les israéliens. 

    ***

    Il semblerait qu'ici et là certains, en occident, commencent à comprendre qu'offrir la main à un groupement d'arabe (ou arabo-musulman, ou musulmano-arabe), aboutit toujours à ce que ce groupement s'efforce à nous prendre le bras. 

    Il n'y a pas de racisme dans ce que j'avance ici, juste une constatation historique. Cette constatation qui s'appuie sur l'Histoire de 14 siècles n'est pas démentie par ce à quoi l'on assiste aujourd'hui, dans un proche et moyen-orient où des chrétiens sont circoncis à vif et des femmes excisées de la même façon. Je vous fais grâce de photos et vidéos trop pénibles à regarder. 

    ***

    Voici un drapeau: 

     

    L'utopie du "deux Etats pour deux peuples"...

     

    C'est celui de l'Arabie Saoudite. Il comporte la profession de foi de l'Islam, et cette profession de foi est soulignée par un sabre...

    Et c'est ce sabre qui décapite, qui égorge en ce moment à qui mieux mieux dans les pays du proche et moyen-orient... 

    ***

    Alors, la solution "deux-états pour deux peuples" est-elle susceptible d'apporter la paix au proche-orient? 

    * Avec une population arabe à laquelle on explique depuis plusieurs générations que le juif est détestable et que la "Palestine" est constituée de l'ensemble du territoire qui va du Jourdain à la mer Méditerranée ? 

    * Avec des dirigeants de l'"Autorité Palestinienne" corrompus jusqu'à la moelle de leurs os, qui ne tiennent que grâce à des financements extérieurs assez importants pour payer leur police et empêcher l'émergence d'un embryon de démocratie ? 

    ***

    Je développerai dans un autre article cette idée loufoque selon laquelle "le peuple palestinien a droit à un Etat". 

    J'expliquerai le fait qu'il en a déjà deux, dont un très nuisible - Gaza, et qu'un troisième serait une aberration légale, politique et militaire. 

    Mon cordial Shalom à tous!  


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