• ... Et du bourrage de crâne des médias:

    http://www.surlering.com/article/article.php/article/l-aveuglement-face-au-printemps-arabe-

    Merci à l'oiseau bleu !


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  • Ces deux articles provenant du blog de Gad ( http://www.lessakele.over-blog.fr/ ) sont à lire à la suite l'un de l'autre.

    On pourrait en déduire qu'Abou Mazen est en train de se tirer une balle dans le pied.

    D'abord celui-là:

    http://lessakele.over-blog.fr/article-les-traites-et-processus-de-paix-avec-l-egypte-et-mazen-ont-franchi-le-point-de-non-retour-au-caire-72709963.html 

    Ensuite celui-ci:

    http://lessakele.over-blog.fr/article-congres-us-nous-stopperons-l-aide-a-l-autorite-palestinienne-72710613.html 

    Les choses devriendraient-elles plus claires pour certains "grands esprits" ?


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    Voilà des Palestiniens qui ont eu leur ration de sang

    par Jean-Pierre Bensimon pour Objectif-info, le 24 avril 2011

    Thème : Proche-Orient

    http://www.objectif-info.com/index.php?id=1578

     

    En ce matin du 24 avril, un Israélien d'une trentaine d'années a été tué et quatre autres blessés par des balles tirées par un policier palestinien, ou selon une autre version par "des terroristes ayant revêtu un uniforme palestinien". Le drame s'est déroulé sur le site du tombeau de Joseph, près de Naplouse. Les victimes faisaient partie d'un groupe de juifs pieux venus prier quelques instants dans un petit local. Après la fusillade, une foule palestinienne s'est déchaînée contre le bâtiment, jetant des pierres et allumant un incendie. Un échantillon ordinaire des comportement des autochtones vis-à-vis des lieux saints non islamiques.

    Le monument avait été détruit au tout début de l'Intifada d'Arafat, le 7 octobre 2000, par une autre foule palestinienne juste après son évacuation par l'armée israélienne. Un rabbin de nationalité américaine, Hillel Lieberman, voulant sauver les rouleaux sacrés qui s'y trouvaient, avait été criblé de balles. Les ruines de l'édifice furent ensuite requalifiées en mosquée.

    Et voila qu'un groupe de personnes à qui leur foi commandait instamment de prier sur ce tombeau, fut-ce pour un instant, fut-ce au péril de leur vie, a été fauché ce matin par l'arme d'un Palestinien, faux ou vrai policier. Ils n'étaient ni des militaires, ni même des civils ordinaires éventuellement capables de se défendre, mais de simples religieux. Le tueur palestinien a eu sa ration de sang.

    Il en a été de même pour un vaste réseau familial et politique du village d'Awarta, proche de Naplouse lui aussi, quand deux de ses membres, Hakim Mazen Awad, et Amjad Mahmad Awad ont massacré au couteau, dans la nuit du 11 au 12 mars toute une famille, les Fogel. Les parents et trois enfants égorgés, dont l'un qui n'avait que trois mois décapité. Les deux tueurs ont déclaré lors de l'enquête qu'ils auraient surement tué les deux autres enfants du couple s'ils les avaient trouvés. Des preuves ont été accumulées sur les complicités dont ils ont bénéficié dans leur village et au-delà, justifiant l'arrestation de cinq palestiniens supplémentaires.

    Lors de l'arrestation des deux tueurs, la famille et les autorités du village palestinien n'ont pas exprimé leur honte et leur désespoir devant la barbarie de certains des leurs. Au contraire, la famille a accusé les enquêteurs d'avoir obtenu des aveux par la torture. Le maire du village d'Awarta, Kais Awad, s'est élevé contre les procédés d'investigation des Israéliens et demandé une enquête internationale, rien moins. Il a même parlé de "punition collective". S'ad Nimr, le ministre palestinien des prisonniers, a trouvé quant à lui qu'il s'agissait "d'un acte de résistance contre l'occupation".

    Ces personnages impliqués dans un acte barbare ou dans sa justification étaient d'ailleurs en phase avec une importante fraction de leur peuple puisqu'un sondage révélait dans la foulée qu'un tiers des Palestiniens approuvait le massacre des Fogel à Itamar. L'acte de barbarie participe alors d'une culture populaire de la barbarie. Avec le massacre, la nuit, d'une famille sans défense et de jeunes enfants, tous ces gens ont eu leur ration de sang et ils s'en sont tous publiquement réjoui.

    Ces évènements se sont produits dans les anciennes Judée et Samarie que l'on appelle aujourd'hui la Cisjordanie (West Bank en anglais). Devant la sauvagerie de leurs confrères du territoire administré par Ramallah, certains Palestiniens de Gaza ne pouvaient demeurer en reste. Le 7 avril, une équipe d'artilleurs du cru, dotée de missiles antichars dernier cri en provenance de Syrie ou d'Iran, prit pour cible un bus scolaire. L'engin hyper sophistiqué ne pouvait pas manquer sa cible. Et les artilleurs ne dissimulaient pas leurs intentions. En Israël, on ne peut pas se tromper, les bus scolaires sont jaunes. Heureusement, le bus s'était vidé de la quasi totalité de ses occupants quelques minutes auparavant. Seul l'adolescent restant, Daniel Viflic, perdit la vie. La barbarie était bien là, tout comme elle accompagne au jour le jour ces milliers de missiles tirés au hasard sur les populations des environs de Gaza.

    Ces Palestiniens ont eu leur ration de sang, en mars, en avril, ce matin. La froide culture de la violence sanguinaire infligée aux civils frappe sans désemparer. Elle est massivement encouragée par les dirigeants, les jihadistes déclarés de Gaza comme les "modérés" de Ramallah. Tous les jours, les média de l'Autorité palestinienne font l'apologie des figures les plus illustres à leur façon du terrorisme palestinien, comme Dalal Mougrabi ou Fahami Mashahara ; des squares, des piscines ou des colonies de vacances reçoivent leurs noms en signe de déférence, des ouvrages et des prêches leur sont consacrés. Et c'est cette société sans morale qui vient d'être déclarée prête pour la création d'un Etat par le FMI et l'ONU, sans oublier M. Alain Juppé, fidèle à ses très vieilles amitiés. Comme si les relents pestilentiels du sang innocent froidement versé indifféraient aujourd'hui des cercles toujours plus étendus au coeur de l'Occident.

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    Philippe Karsenty 25 avril 01:50
    Merci pour votre soutien qui me touche. Je vous invite à venir vous inscrire et à inciter vos amis à s'inscrire sur ma page officielle :http://www.facebook.com/philippe.karsenty
    Philippe KarsentyFils d’un chef d'entreprise et d’une enseignante, et après avoir étudié dans une école de commerce p arisienne, j’ai passé les 10 premières années de ma vie professionnelle sur les marchés financiers.

    A bientôt 45 ans, et de sensibilité libérale, j’ai toujours été passionné de politique française et internationale.

    Au printemps 2002, j’ai eu l’occasion d’échanger quelques idées avec celui qui allait devenir quelques semaines plus tard le Ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy.

    Courtoise, notre conversation s’est tendue quand il a insisté sur le fait que le Golan devait être donné à la Syrie.

    C’est alors que constatant notre désaccord, Nicolas Sarkozy m’a rétorqué : « Si vous n’êtes pas d’accord avec moi, présentez-vous à la place ! ».

    Je l’ai pris au mot et deux mois plus tard, en juin 2002, je me présentais face à lui aux élections législatives à Neuilly.

    J’ai perdu avec 3% des suffrages ; Nicolas Sarkozy étant devenu entre temps l’homme le plus populaire de France en prenant le poste de Ministre de l’Intérieur.

    Je me suis alors consacré depuis cette époque-là à la révélation de la vérité dans l’affaire al Dura… une autre façon de faire de la politique !

    Très isolé au départ, tant en France qu’en Israël, j’ai - avec l’aide de quelques précieux amis - progressivement retourné une bonne partie de l’opinion des élites israéliennes avant de parvenir à convaincre la justice française mais aussi, bon nombre de politiques français du bien fondé de mes accusations de mise en scène contre France 2.

    Durant ce combat, j’ai franchi de nombreux obstacles et j’ai présenté mes travaux dans le monde entier, en français, en anglais et en espagnol. J’ai aussi été participé aux débats politiques et médiatiques, français et internationaux.

    En mai 2008, j’ai gagné mon procès en appel contre France 2 et en juin 2010, j’ai fait condamner Canal + en diffamation pour le documentaire qu’ils avaient diffusé en avril 2008 qui me mettait gravement en cause.

    En 2007, Nicolas Sarkozy est devenu Président de la République et il a souhaité que son porte-parole de l’époque, David Martinon, devienne maire de Neuilly.

    Or, Martinon était, au sein de l’administration Sarkozy, un de mes plus farouches opposants dans le cadre de l’affaire al Dura.

    J’ai donc décidé de soutenir le candidat « divers droite » qui me semblait à ce moment-là être le plus en phase avec mes principes et mes valeurs, Jean-Christophe Fromantin.

    Notre équipe a été élue avec 62% des voix en mars 2008.

    Je suis alors devenu maire-adjoint de Neuilly-sur-Seine, en charge des nouvelles technologies.

    En mars 2011, j’ai pris la décision de me présenter au poste de député des Français de l’étranger dans la 8ème circonscription qui regroupe les Français vivant dans plusieurs pays de la Méditerranée orientale : Israël, l’Italie, la Grèce, la Turquie, Chypre, Malte, Saint Marin et le Vatican.

    Je ne souhaite pas être élu à ce poste « en remerciements pour services rendus » mais pour aider les Français de l’étranger dans leurs préoccupations quotidiennes mais aussi prolonger mon travail patient de retournement des opinions publiques et politiques françaises par rapport à ce qui se passe en Méditerranée orientale.

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